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LE BLOG DE JOAQUIM ANTONIO
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LE BLOG DE JOAQUIM ANTONIO
13 mars 2008

faite suivre...........

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# Posté le mardi 11 mars 2008 21:44

pouvez vous faire passer.

pouvez vous faire passer.

C'EST POUR UNE MALADIE QUI EST RARE ET QUI N ES T PAS ENCORE CONNUE
MON AMIE A SON FILS QUI EST ATTEINT DE CETTE MALADIE
ALORS SVP FAITE UN COPIER COLLER ET METTER LE DANS VOTRE BLOG
POUR QUE CETTE MALADIE SOIT UN PEU CONNUE DU PUBLIQUE
MILLE MERCI

La maladie cœliaque (parfois appelée cœliaque ou intolérance au gluten), est une maladie auto-immune, caractérisée par une atteinte de tout ou partie des villosités recouvrant l'intestin grêle. Cette maladie est due à une intolérance au gluten et des protéines apparentées que l'on trouve dans certaines céréales (blé, seigle, orge, épeautre, avoine). Il en résulte une mal absorption et donc des carences alimentaires. L'avoine n'est peut être pas en cause : il s'agirait simplement d'une contamination par les champs " muticulture" tels qu'ils existent en Europe. Les personnes cœliaques doivent s'abstenir à vie de consommer les produits contenant ces glutens, ce qui permet une régression complète des symptômes de la maladie.

On trouve généralement cette maladie chez l'enfant, mais le diagnostic peut-être fait chez l'adulte quand la maladie était discrète pendant l'enfance.

Cette maladie touche surtout les populations d'Europe du nord. Des estimations de sa fréquence parmi les personnes d'origine européenne varient entre 1 sur 300 et 1 sur 500. Parmi les irlandais, la prévalence atteindrait 1 sur 132, tandis que la prévalence moyenne au Royaume-uni serait de 1 sur 100[1]. Cette prévalence différente est en partie due à l'absence de diagnostic porté sur un grand nombre de cas.
En raison de sa nature en partie génétique, les médecins recommandent généralement que les proches parents de patients atteints passent un test même s'ils ne présentent aucun symptôme.
Elle est 2 à 3 fois plus fréquente chez la femme. Ce sexe-ratio s'atténue actuellement, avec l'augmentation du taux de diagnostic des formes cliniquement a symptomatiques.


Signes et symptômes

Les signes les plus fréquents sont:
une asthénie,
des douleurs abdominales et une diarrhée de type mal absorption avec stéatorrhée, amaigrissement et dénutrition.
On peut aussi trouver des anomalies biologiques qui sont des signes indirects de mal absorption du grêle :

anémie associée à une carence en fer, folates, vitamine B12 ou facteurs II, VII et X,
hypoprotidémie avec hypo-albuminémie,
hypocalcémie, hypomagnésémie et déficit en zinc.
une hypocholestérolémie.
Mais on ne retrouve ce tableau seulement chez 20% des malades. Il peut aussi y avoir beaucoup de symptômes très différents.

Nous observons le plus souvent des formes atypiques ou pauci symptomatiques. Ces formes sont les plus fréquemment observées chez l'adulte. Leur caractère pauci symptomatique entraîne souvent un retard au diagnostic. On peut ainsi observer:

Une anémie ferriprive, voire une hyposidérémie isolée,
une aphtose buccale récidivante,
des troubles menstruels tels qu'une aménorrhée primaire ou secondaire ou une stérilité,
des avortements à répétition,
une hypotrophie fœtale,
une épilepsie ou une ataxie,
des douleurs osseuses ou des arthrites périphériques inexpliquées,
une ostéoporose idiopathique associée ou non à des fractures,
une augmentation inexpliquée des transaminases

Marqueurs sérologiques

Des anticorps sériques (IgA anti transglutaminase tissulaire) d'une grande sensibilité et spécificité sont disponibles pour le diagnostic et le suivi du régime sans gluten.
Ils seront observés en cas de suspicion de maladie coeliaque et s'ils sont positifs, le diagnostic devra être confirmé par une biopsie intestinale, près de 10% de faux-positifs ayant été décrits
Ainsi la mise en évidence d'une atrophie villositaire associée à une augmentation des lymphocytes intra épithéliaux et d'une hyperplasie des cryptes sur les biopsies duodénales obtenues lors d'une endoscopie œsogastroduodénale est évocatrice du diagnostic.

Causes

Il existe une nette prédisposition familiale à la maladie cœliaque dont la prévalence est de l'ordre de 10% chez les parents de premier degré d'un patient atteint.
En dehors de ces prédispositions génétiques, d'autres facteurs environnementaux, probablement infectieux, viraux et/ou bactériens encore mal connus, sont susceptibles de déclencher la phase active de la maladie (la responsabilité d'un adénovirus de type 12 est parfois mise en cause).
D'autres facteurs pourraient aussi avoir un rôle tels une introduction trop précoce du gluten dans le régime alimentaire du nourrisson.
La maladie cœliaque a deux pics de fréquence avec une révélation soit dans la petite enfance, le plus souvent entre six mois et deux ans soit après l'introduction du gluten dans le régime alimentaire, ou à l'âge adulte le plus souvent entre 20 et 40 ans. Les formes à révélation tardive (après 65 ans) ne sont cependant pas rares.

Traitement

Le seul traitement reste de suivre un régime excluant toute source de gluten dans l'alimentation.
Le régime sans gluten doit être préconisé à vie (il n'y a pas de régression de la maladie), en particulier chez l'adulte, car il prévient en partie le risque de complications lymphomateuses et osseuses.
Il faut contrôler l'efficacité du régime et le bon suivi par l'observation de l'amélioration clinique et biologique après un à trois mois de régime et par la régression des anomalies histologiques (atrophie villositaire) et la négativation des anticorps spécifiques après un an de régime.
Il faut aussi surveiller la disparition des symptômes qui avait orienté le diagnostic (problèmes osseux, ...). Des compléments vitaminique peuvent être prescrit quand l'état de santé du patient le demande.
Dans les formes graves, avec des douleurs vives, les corticoïdes sont utilisés relativement souvent.

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